a cargo nous avions adoré son premier album, tout d’abord accueilli , il est vrai, avec une certaine méfiance. le patron de tricatel avait-il vraiment quelque chose d’intéressant à mettre sur nos platines... cela fait presque un an maintenant que nous avons constaté que c’était (...)

abbé pierre citation gentiment provocatrice de tété : " je fais la même chose. je reste un flemmard. j’aime bien les branleurs... ". pourtant epic, son label, qui n’est pas connu, comme tous les gros labels, pour jouer les abbé pierre, croit vraiment en lui. ils ont même sorti (...)

sincérité tout d’abord un petit aveu. a propos de kristin hersh je n’ai pas frôlé le ridicule dans ma chronique de la soirée ouï fm, je me suis vautré dedans. comment qualifier de quasi-inconnue l’ancienne throwing muse... heureusement le ridicule ne tue pas ! mais on s’en (...)

installation insidieuse totalement inconnu pour nous jusqu’à il y a quelques jours, bowery electric s’installe sur votre platine presque insidieusement et instaure rapidement une atmosphère planante et étrangement familière. lushlife - c’est le nom de leur troisième album - (...)

monument mythique comment fait-on pour s’attaquer à un monument, voir deux : david bowie lors d’une période mythique qui nous a offert quelques uns des plus beaux morceaux de l’histoire du rock, mais aussi les live de la bbc, sessions qui ont vu plus ou moins défiler jusqu’à (...)

profession de foi le easy listening est une profession de foi. aussi bien pour ceux qui écoutent que pour ceux qui la font, c’est un univers avec ses codes et ses rites... une touche de kitsch, sans quoi rien n’existe, beaucoup d’humour - et bertand burgalat, qui a quand (...)

les superheroes ont sorti un des albums les plus étonnants de l’année avec igloo. nous les avions raté lors de leur premier passage à paris, en avril. nous nous sommes rattrapés à l’occasion de cette nouvelle tournée et nous avons interviewé le groupe au grand complet, la veille du (...)

pompier badly drawn boy n’est plus la petite sensation pop du printemps 2000. l’homme au bonnet a cartonné ci et là avec son premier album the hour of bewilderbeast. plusieurs singles après, on le retrouve pour la bande-son d’un blockbuster (la nouvelle comédie avec hugh grant, (...)

insipide il ne faut pas accorder d’importance au nom du groupe et au titre de l’album qui ne reflètent que de manière infime le propos du disque. de prime abord on pourrait en effet croire que the bees est similaire à un de ces innombrables "talents" de la pop anglaise, aux (...)

texture nasale ce qui frappe à la première écoute de this cloud is learning c’est la voix. la texture de la voix de nicolai dunger assez nasale, avec un timbre très particulier se marie parfaitement avec l’orchestration de chacune de ces chansons. ces petites perles folk, (...)