Le retour. Une sorte de de réapparition inespérée. Reprendre là où tout s’était arrêté, comme si de rien n’était. La dernière fois, c’était en 2006. Une sortie discrète, sans bruit, sans fureur. Une sorte de mise en léthargie sans promesse de réveil mais sans aigreur. Et puis les liens se (...)

amour le concept de love actually pour redynamiser un peu le principe des comédies romantiques est de proposer non pas une mais une demi-douzaine d’histoires d’amour. on se retrouve donc avec énormément de personnages, plutôt sympathiques au demeurant, dont on suit les destins (...)

"Chacun, chacune chez soi mais ensemble unis par la musique, la créativité, l’échange, l’improvisation, le partage" : Sandra Nkaké et Jî Drû sont à l’origine de cette suite de près de 10 minutes, un "hymne au pouvoir du collectif" qui rassemble pas moins de vingt artistes ayant (...)

éthique c’est toujours un pur plaisir de découvrir un groupe pour la première fois. même si celui ci en est à son cinquième album depuis 7 ans, cela ne change rien - dit le chroniqueur d’un webzine musical faisant face à son inculture impressionnante. a la limite cela ne (...)

Dans "le Do Ya Feel My Love ?", la batterie fait "poum poum tchak", la rythmique de base du rock (avec "poum tchak"), le fill de batterie, "takatakat", est sûrement le premier que tout batteur apprend. La basse fait "tud tud tud tud", le martèlement classique et métronomique de (...)

Un premier clip avec le comédien Udo Kier (habitué de Lars von Trier), quelques notes de guitares comme l’attente d’une envolée post-rock et la voix de crooner de Konstantin Gropper, qui n’est pas sans rappeler celle de Murray Lightburn (The Dears), de s’élever sur une petite (...)

tournant Il me sera difficile, pour parler de ce troisième album de Jesse Sykes & The Sweet Hereafter, de le replacer dans le contexte de la discographie du groupe sans faire de raccourcis hâtifs, car je l’ai découvert en premier et connais encore mal ses prédécesseurs. (...)