“Aux premières mesures, un léger souffle de vent qui se devine chaud, et ce sifflotement à la ennio morricone semblent nous transporter au coeur d’un western. Puis il y a cette petite mélodie qui s’esquisse, lointaine cousine d’un célèbre slow des eagles. Dans le contexte, (...)

morbides Aux premières mesures, un léger souffle de vent qui se devine chaud, et ce sifflotement à la ennio morricone semblent nous transporter au coeur d’un western. Puis il y a cette petite mélodie qui s’esquisse, lointaine cousine d’un célèbre slow des eagles. Dans le (...)

Sons of Frida (SoF), derrière ce nom pour le moins étrange, se cache un combo post-rock parisien,dont la musique est beaucoup moins rigolotte que le nom, en fait elle est pas rigolotte du tout. Et c’est un peu une constante du groupe, de ne pas être là où on l’attend, voir où il (...)

L’avenue Junot, la rue Lepic. Evidemment tout en haut. Près de Montmartre et du Sacré Cœur mais relativement épargné par la foule de touristes qui envahit les hauteurs de Paris chaque jour de l’année.

Une rencontre un matin, dans un hotel parisien. Le groupe est fatigué, mais bien trop gentil pour s’en plaindre. Malgrè mon anglais approximatif on fait ce que l’on peut pour cerner un peu mieux ce groupe qui n’avait pas encore sortit d’album à ce moment là. La qualité du son et (...)

Déjà le sixième opus pour le suédois Emil Svanängen alias Loney Dear, qui s’écrit dorénavant sans virgule (attention donc si vous cherchez sur Spotify, Loney Dear et Loney, Dear étant stupidement répertoriés comme deux artistes différents). Loney Dear, avec ou sans virgule, c’est la (...)

lauréat syd matters a été qualifié de révélation française de l’année par les inrockuptibles. comparés à grandaddy, ils font figure d’objet non identifié musical au sein de la cohorte de groupes de rock pseudo indépendants et produits marketing camouflés qui fleurissent chaque jour sur (...)

Rendez vous dans les locaux de Jérôme Deschamps et Macha Makeïeff. Peut on rêver meilleur décor pour l’univers des Moriarty. Un lieu magique. Où l’on retrouve son âme d’enfant à chaque pas, à chaque fois que notre regard se pose. Comme cette vitrine en hommage à Jacques Tati. Un oscar, (...)

Allez pour une fois faisons dans l’ultra personnel, dans l’anti-journalistique assumé, car en effet, comment parler d’un artiste qui nous touche par-dessus tout sans évoquer notre rencontre, le fameux jour de l’éblouissement ? Comprenons-nous bien, s’il s’agit d’une rencontre c’est (...)