Un livre illustré : c’est la première image qui nous soit venue en découvrant cet album, dont le titre nous promet des chansons d’or et d’ombre qu’on imagine parées d’enluminures. Mais au fil des écoutes, c’est plutôt un théâtre que nous évoque le premier album de Cleo T. Parce qu’il y (...)

Comment le patchwork sonore et les ambiances sophistiquées de Troops se traduiraient-ils en session dépouillée ? C’est la question qu’on se pose en arrivant dans les locaux du label Volvox où nous attend Liesa Van der Aa. On s’installe dans un coin tranquille délimité par des (...)

mouche mr e continue son bonhomme de chemin en solitaire avec quelques intervenants proches (lisa germano, joe gore ou butch par exemple, ce dernier avec lequel mark oliver everett se serait brouillé...). titre bizarre, drôle et encore inabordable pour le grand public, (...)

Au premier rang de la Maroquinerie, on jette des regards en arrière, un peu étonné de voir la salle aussi remplie, sold out pour tout dire, même si le café de la danse d’il y a 2 ans était déjà étouffant de monde, même si Elysian Fields a maintenant droit aux têtes de gondole. Et (...)

"I love Huckabees" est un film déroutant, intriguant, agaçant et drôle à la fois. Un film qui accumule les contradictions et l’absurde. Mais quel est le propos du réalisateur et comment résumer une histoire qui semble partir dans tous les sens ? un film déroutant sur la (...)

Le festival Osophère de Strasbourg proposait pour cette première soirée de l’édition 2008 deux concerts antipasti dans deux salles différentes. Le premier concernait la nouvelle star musicale française : le génie du rien du tout, le Raël de la scène indé : le dénommé sébastien (...)

L’un des aspects les plus ludiques des sessions Cargo, c’est lorsque les artistes apportent spontanément le petit détail qui va poser l’ambiance. Shara de My Brightest Diamond décidant de grimper dans un arbre, Kate et Jesse de This is the kit laissant leur bébé vadrouiller dans (...)

Il venait pourtant d’achever un long périple pour rejoindre son cosy hôtel parisien. Mais Neil Hannon, Monsieur Divine Comedy, nous a accueillis fidèle à lui-même, regard malicieux, sourire en coin qui va bien, et sa charpente chétive cachée dans un classieux costard à la chemise (...)

Il faudra patienter encore quelques mois pour revoir la suédoise Anna Ternheim à Paris (en avril, nous a-t-elle dit), après la distribution internationale de son nouvel album Leaving on a mayday. D’ici-là elle joue à domicile et Le Cargo, toujours enclin à jeter l’ancre sur les (...)