Le Spectre - Gaslight
Voilà un morceau des plus étonnants, des plus surprenants. Sur un rythme résolument ska et donc des plus dansantes, Le Spectre mélange les influences, les styles et les sonorités. Le son est lourd, pesant et pourtant toujours aussi prenant et addictif. La voix est basse, profonde et les choeurs bien allumés. Si vous aimez les étiquettes peut être que nous pourrions parler d’Indus Ska, un grand écart totalement réussi !
Sean Axelrod - I Don’t Believe in Love
Revenons ici aux bases. Après l’étonnant cocktail du Spectre on revient ici aux fondamentaux. On peut trouver dans ce I don’t believe in love, une influence du Bowie des années 70. Sean Axelrod nous emporte dans ce morceau aux superbes arrangements, des cordes, des choeurs et à l’émotion palpapble, qui nous fait dire que si Sean ne croit pas en l’amour, il croit en la musique et à tout ce qu’elle peut nous apporter.
Faux Real - The United Snakes of America
Le moins que l’on puisse dire c’est qu’avec les morceaux de cette sélection du jour nous voyageons à travers des univers des plus différents. Les Faux Real nous embarque avec eux dans un univers totalement foutraque et allumé, de rythmes syncopés et ultra dansants, de synthés et de vocoder, de danse mais aussi de solo de banjo. Et pourquoi pas. Tout cela n’est jamais indigeste, mais au contraire totalement addictif ! A écouter très fort en n’hésitant pas danser comme un fou dans son salon ou sur son lit en sautant dans tous les sens !
Maximilien Gomart - Girl, What’s Going On ?
On vous l’a dit, nous voyageons à travers les époques, les styles et les influences aujourd’hui. La Delorean est réglée sur la fin des années 60. Les mélodies aériennes, les synthés qui flirte avec le psychédélisme, la voix aussi touchante que les harmonies. On pourrait retrouver la musique de Maximilen Gomart dans un film sur la fin de l’adolescence, la fin de l’innocence. Un film qui n’a pas peur des émotions, des sentiments.
Walter Di Bello - NO genre
Nous finissons en Italie. Avec la superbe ballade de Walter Di Bello. Une mélodie accrocheuse, touchante et nostalgique que vient sublimer une superbe voix rocailleuse qui vous emporte tout de suite. Une voix très particulière qui donne à cette chanson toute sa force et son émotion. La réussite d’un morceau est un équilibre fragile que chaque élément peut sublimer comme abîmer. Ici tout fonctionne à merveille et la voix de Walter est ce petit truc en plus qui nous fait dire que l’univers du chanteur, si il est à l’image de cette superbe chanson est à découvrir très vite !