On est très content de découvrir ce soir un tout nouveau titre de Marketa Irglova avec comme exquise cerise sur un gâteau déjà fort séduisant la présence de Emiliana Torrini, deux très belles voix et une instrumentation sophistiquée qui nous régalent tout au long des dix minutes de (...)

Astroblema - Xmas Without You Sacré saut dans les 90’s en écoutant le premier extrait du nouvel EP de Astroblema. Toutes guitares en avant on se retrouve à danser et chanter le refrain en yaourt si il le faut, comme nous l’avons tellement fait il y a une trentaine d’années. Ce (...)

Il avait suffi de quelques écoutes des deux premiers EPs de Nadine Shah pour susciter chez nous une curiosité immédiate vis-à-vis de son album annoncé pour cet été. On avait reconnu d’emblée des signes qui ne trompent pas. L’immédiateté des mélodies, la finesse des textes, un sens (...)

périssables resident evil est un mastodonte énorme qu’on a failli laisser passer dans la jungle des superproductions américaines de l’hiver, comme dans celle des adaptations de jeux vidéo pour le grand écran ces dernières années. paul anderson réalise un chef-d’œuvre et donne (...)

White Velvet et son "Don’t trust the tide " c’est un morceau frais, léger, dansant même qui n’est pas sans nous faire rappeler quelques groupes anglais des années 90. Derrière White Velvet il y a Juliette Richards qui après plusieurs formations se lance en 2016 dans son premier (...)

Les bilans de 2019 terminés, l’heure est aux premières sorties de 2020 (nous vous préparons évidemment la sélection des albums que nous attendons…). Et pour cette première chronique de la nouvelle année, nous avons élu un bel EP de rap français.

Linka Moja - Othersider Une intro à la basse. C’est déjà intriguant. Une trentaine de secondes et tout à coup la voix de Linka. Il n’y pas besoin de plus pour nous faire chavirer. Cette voix belle et sensuelle, pleine d’émotions nous attrape et ne nous lâche plus jusqu’à la fin du (...)

Cette session avec Alone and Me est la toute dernière qu’on ait tournée, avant le confinement. On a rendez-vous dans un immeuble parisien, après un escalier où il faut vraiment plier son mètre 80 pour espérer passer, une petite cave rénovée avec un beau mur en pierres, deux lampes. (...)