Il y a maintenant seize ans, nous tombions sous le charme tenace d’un album nommé Flicker, collection d’étranges pépites pop rock mâtinées de country déviante où s’entrecroisaient deux voix au timbre inimitable : celle d’Eszter Balint elle-même et celle de son violon. Charme si tenace (...)

Rivkah est quelque peu insaisissable. Habituellement, lorsqu’un disque nous plait, quelques jours en sa compagnie nous conduisent immanquablement à un axe d’écriture, une entrée en matière, un fil rouge. Et on déroule de là. Rivkah non. On aime son album Shara. Mais saura-t-on (...)

Sitôt digéré la bûche et cuvé le champagne du réveillon, accordons un dernier coup d’œil nostalgique à l’année écoulée avant d’embarquer pour de nouvelles aventures musicales. Les matelots vous souhaitent une belle année riche en découvertes et partagent avec vous leurs enthousiasmes et (...)

Nous avons déjà croisé plusieurs fois Walt. Avec les magnifiques Dark Dark Dark, pour des sessions ou autour de quelques crêpes magiques au West Country Girl. Donc le jour où Walt nous envoie un mail et quelques liens pour nous parler de son nouveau projet, en solo, et nous (...)

Dans la série "le monde de la musique est tout petit"... on arrive à la Maroquinerie pour filmer Rozi Plain, qu’on a jamais vue encore, et pourtant on se retrouve tout de suite presque en "famille", car sur scène on retrouve Jean, le génial batteur de feu Hopper, Frànçois sans (...)

Les albums de John Parish ne sont pas de ceux qu’on appréhende dès la première écoute. Ils nécessitent qu’on prenne le temps de tourner autour, de s’y laisser glisser, de s’en imprégner. On y avance à tâtons et puis, soudain, on y entend quelque chose qui nous parle et nous touche en (...)

Au cargo, nous avons le cargotime, ce décalage temporel savoureux qui nous pousse à mettre en ligne nos chroniques/vidéos/photos soit très en avance, soit très en retard par rapport à l’actualité musicale. C’est un art de vivre et on s’en accommode très bien, d’autant que c’est un (...)

La semaine dernière on me disait que la plupart du temps personne ne s’intéressait aux premières parties. Je me souviens même d’accueil houleux pour des groupes pourtant excellents. Pour d’autres c’est le contraire, un concert sans première partie donne un petit goût d’inachevé... (...)