Ca démarre par un.e enfant beaucoup trop mignon.ne qui raconte des souvenirs de sa maman, puis s’enchaînent les souvenirs et images d’archives, comme si on poussait une VHS au fond de notre lecteur cassettes. Les scènes de vie s’enchaînent tandis que Yelli yelli s’adonne à une mélodie folk kabyle. Une rencontre entre les époques et ses origines algérienne et tchèque pour une jolie ôde à la liberté.