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publié par Renaud de Foville le 28/09/11
My Brightest Diamond - Session #323

C’est notre 3e rencontre avec Shara Worden, My Brightest Diamond. Pourtant nous sommes toujours aussi impressionnés de la filmer. Elle arrive en même temps que nous dans les nouveaux locaux de Differ’ant. Sort du taxi lumineuse et colorée. Quelques mots. Les souvenirs de nos deux premières sessions. Celle dans l’arbre, à coté du Père Lachaise et la toute première, A Cappella dans la cour de la Maroquinerie. Au passage notre ego repart gonflé à bloc quand Shara nous apprend qu’elle a fait une promo télé où on lui a demandé de refaire le "Be my husband" comme dans notre session... !!

Mais on sent quelque chose de différent, de changé chez Shara. Plus calmé, plus posé. Le petit grain de folie que l’on avait croisé fait place à une douceur, une sérénité tout aussi impressionnante.

Pendant que l’on prépare notre matériel, Shara part avec Pascaline à la recherche d’un endroit pour filmer. Un coin dans la cour, prêt d’un hangar à bateaux, parfait pour le Cargo. Dépaysant et esthétique... En fait parfait c’est ce que l’on croyait avant que deux amateurs de voiles viennent faire la conversation juste à coté de nous !!! Mais regardez les yeux, le sourire, la douceur de Shara. Elle reste aussi belle que lumineuse. Comme sa musique. Comme l’instant qu’elle nous offre. On ressort un peu triste de ne faire qu’un seul morceau, mais en même temps tellement heureux de ces quelques minutes que l’on vient de passer ensemble. En attendant les concerts à venir, en attendant de retrouver Shara pour une quatrième session...

She does not brave the war (but she saves the day)

Merci à Pascaline

Images : Renaud de Foville

Son : Sabine de Foville

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publié par le 28/09/11
Derniers commentaires
matelote v - le 28/09/11 à 19:11
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Pour le coup, je trouve l’irruption des voix de fond au milieu de la chanson très émouvante. Pas pour les voix en elles-mêmes, mais pour ce que Shara réussit à poser (imposer) par au-dessus. Ca renforce énormément la grâce du moment. D’une certaine manière, ça donne un cachet à la session. Le morceau et l’interprétation sont magnifiques, mais on franchit un cap dans la grâce à ce moment précis où tout cela se pose dans un contexte réel et donc, par contraste, banal.