On vus le dis, on vous le redis, on se répète mais nous sommes vraiment soufflés de la rapidité à laquelle Magon sort des morceaux qui sont autant de tubes en puissance. Comment fait on une musique à l’apparence aussi nonchalante, qui nous emmène dans une faille spatio temporelle dans la Californie des années 60/70, en étant à ce point un bourreau de travail. Quel pacte faustien Magon a t’il signé pour nous offrir aussi régulièrement des pépites de bien être, de douceur, des mélodies qui vous enrobent comme un immense hug chaleureux et réconfortant. Havana Bay ne déroge pas à la règle, une petite pépite on vous dit !