condescendance

même au second degré - voire plus - la pochette de who’s got the biscuit est affreuse. je sais, ce n’est pas le plus important mais quand même... on regarde donc l’objet avec un peu de condescendance - on est vite un peu hautain quand on prétend faire de la critique - avant d’écouter les 12 titres des lowfinger. si on écoute d’une oreille distraite "superfinger" qui ouvre l’album - je ne sais pas si ce groupe est sponsorisé par la célèbre marque de gâteaux toujours trop courts, mais on peut se poser la question - on se demande, avec "shoolroom headrush", ce qui se passe.

au petit matin

qui peut nous sortir sérieusement un morceau pareil aujourd’hui. le pire c’est que la plus grande partie de l’album est du même style : les mélodies sont aussi pauvres que la production, on se retrouve avec un rock qui n’est qu’une pâle imitation sans saveur de ce que ferait jon spencer, ou plutôt brassy, au petit matin et même pas vraiment réveillé. on s’ennuie très vite alors que l’on se doute que les lowfinger on envie de nous remuer, de nous faire danser et de nous amuser. c’est raté.