Yung heartthrob - Circadian
On reçoit un morceau. Sans autre renseignement que l’artiste est américain. C’est la seule chose que l’on sait. De l’artiste. Mais ce que l’on sait, ce que l’on ressent surtout c’est à l’écoute de ce morceau. Hors norme. Un format très court, moins de deux minutes, pas de refrain, couplet ou autre. Un morceau en apnée, d’un trait. Impressionnant, totalement hypnotique, surprenant tout autant que prenant. On écoute et réécoute, pris et surpris. Un ovni peut être, un morceau impressionnant certainement !
Reno McCarthy - Nothing Less, Nothing More
Deuxième album pour le canadien que l’on découvre avec l’éthéré Nothing Less, Nothing More. Un morceau prenant, touchant, simple, qui assume de vouloir vous bouleverser ! Des nappes électroniques qui enveloppent une voix qui arrive à nous toucher malgré les effets. On pourrait retrouver Nothing Less, Nothing More à la fin d’un épisode de Miami Vice !
Elle·Ouest - La Nuit
On continue dans le vaporeux, l’éthéré, l’aérien. La nuit nous parle des rêves et cette chanson en serait la bande originale parfaite. Envoûtante et en même temps mystérieux, comme un rêve sans fin, sans repère, étrange et familier en même temps ! Un morceau dansant et hypnotisant qui ne peut pas vous laisser indifférent !
Peggy James - The Parade
On change de style ; on change de genre. Peggy James se présente elle même comme une artiste Pop, on ne pourra pas dire le contraire à l’écoute de ce morceau très influencé par les Beatles, c’est le moins que l’on puisse dire. Mais en même temps l’américaine n’hésite pas à y mêler des arrangements, des sonorités country pour un mélange particulièrement réussi. Un chant doux et plein d’émotions sur une musique pleine de vie, d’énergie, pour au final un style très particulier, mais un mélange des plus réussis toutes guitares dehors soutenus par une solide rythmique !
The Arlequeen - Third Eye
Un morceau à la croisée des influences. On plonge directement dans les années 70, quand certains musiciens s’ouvraient à toutes les musiques, toutes les cultures. Il y a du Beatles psychédélique dans ce Third eye, de la musique hindou à la pop, The Arlequeen revendique ses influences, s’ouvrent à tous les courants et nous offre un morceau beau et envoûtant !