Il y a du Elliott Smith chez Julien Pras. C’est une évidence. Une référence. Une révérence, pour certain. Sans interférence. Fragilité. Douceur. Tristesse parfois. Des sentiments d’automne, pour une session à la maison. Une session d’automne. Une seule chaleur, les mélodies. Un seul réconfort. La voix, la fragilité de Julien Pras.
Images : renaud de Foville (www.unjour peutetre.net)
Alien town
Spying on the moon
Engine smoke