eh voilà. comme d’habitude quand j’ai très envie de parler d’un groupe, d’une musique qui me touche, je tourne autour pendant des semaines, espérant trouver le bon angle, les bons mots, de ceux qui suscitent la curiosité et l’envie. et comme d’habitude je me retrouve au pied du mur, en vrac, voulant tout livrer d’un coup, espérant ameuter la place. trop tard. ou presque.
il n’est pas trop tard en ce vendredi pluvieux pour vous pencher sur la beauté transperçante des mélodies de gravenhurst (ça y est, j’ai enfin dit de quoi il s’agissait !!) et pour vous dire que vous serez dimanche soir bien plus émerveillés au café de la danse que devant le blockbuster américain de TF1 (ah flûte, raté, telepoche.fr me renseigne sur un film français... quoique la deuxième partie de soirée est bien dans le topo. ouf. de toute façon peu importe —> le café de la danse j’ai dit !!).
café de la danse dimanche soir donc pour le trio british de gravenhurst. pour la tournée promo du dernier des trois albums en date, fires in distant buildings (dans le top 4 des albums 2005 de ma pomme, mais évidemment puisque nous n’avons toujours pas sorti nos tops 2005... hum) et espérons-le pour quelques anciens titres, tirés des premiers LP, internal travels & flashlight seasons ou EP black holes in the sand... (warp records & silent age records)
si tout cela vous intrigue, précipitez-vous sur le myspace du groupe et écoutez la mélodique délicate d’un ’animals’ ou le postrock déchirant de ’song from under the arches’ (le morceau qui m’aura définitivement rendue accro). rien de totalement neuf dans leurs arrangements, rien de totalement inédit, mais une folk british à la beauté estomaquante.
rien à voir avec la choucroute, mais j’écoute folks pop in at the waterhouse et mon petit doigt me dit que c’est la prochaine soupe que je vous sers.
à dimanche ?
the velvet cell ! the velevet cell ! the velvet cell !
(ceci est une note faite sans copier-coller)
bon concert, tu nous fais une chronique sur le vrai cargo cette fois ...