hum

arrivée à 18.00, le temps de récupérer les accréditations, non sans mal : pour accéder au stand du service de presse qui délivrait les accrés, il fallait montrer l’accré en question ... hum. un malheureux mail imprimé le matin même fera malgré tout l’affaire. bref, tout ceci empêchera donc la pourtant très motivée équipe des chroniqueurs cargo ! de voir an pierlé et dominique a. dommage.

nombriliste

difficile de dire que l’on aura été vraiment réconforté par les quelques minutes passées sous le très grand (plus de 5000 personnes...) chapiteau dressé pour l’occasion, à écouter les vannes parfois douteuses et quasiment toujours nombrilistes de jamel.

gorge profonde

on comptait alors pour se réconforter sur la canadienne et polyglotte lhasa. difficile de dire que le set n’est pas bon. la salle est bondée, les escaliers débordent. la demoiselle est toute de noir vêtue, perchée sur ses hauts talons. six musiciens sur scène, un jeu de lumière sobrement raffiné. on oscille entre mélancolie et passages plus joyeux. mais une ligne d’ensemble manque : la voix profonde ne réussit pas à unifier des chansons empruntant à trop de registres différents. la chanteuse prend souvent la parole, pour raconter sa relation avec son père -tiens, un point commun avec jamel... le seul sans aucun doute ...-, pour raconter sa découverte du sud du nord (marseille), sur les traces de son arrière grand-père. mais on n’est pas convaicu, on sent le second degré, sans bien savoir si c’est d’humour dont il s’agit. des interventions mignonettes. sans plus.

electro

direction le 22 est et le 22 ouest, pour les découvertes électro. très -trop- hardcore en ce qui concerne les deux groupes qui mixaient alors, dual engine et undergang. on file plutôt se coucher, sous la pluie qui ne nous rate pas. la suite sous peu.