Nadia Reid est une voix. Non, non, pas une voix au sens The Voice ou même XXIème siècle, une voix au sens sixties, intemporelle. Le genre de voix qui s’épanouit sur une guitare folk tranquille, une voix qui prend son temps, hors-mode, hors-démonstration mais assurée, forte, (...)

Hilldale possède ce petit quelque chose qui retient l’attention, cet élément inqualifiable qui transforme un enregistrement un peu maladroit en un EP débordant de charme. Découvrez leur pop & stroll retro sur le cargo !

Il est des groupes pour lesquels la question de la chronique se pose jusqu’au dernier moment. Muhadib est de ceux-là. Et alors même qu’on se lance dans la rédaction de l’article, on n’est pas tout à fait sûr d’aller au bout. Qui vivra verra. En attendant Muhadib sort un EP quatre (...)

5ème album du duo de San Francisco et petite déception. Un album inégal avec cependant des moments de grâce, particulièrement lorsque la guitare se fait moins rageuse et que la voix d’Adam Stephens prend l’espace.

Il était une fois, celle de la première avec Ropoporose. C’était au début de la fin de l’année dernière, par une après-midi d’automne, de froid et de pluie. A regarder une session Cargo tout juste publiée, capsule échappée de l’été. Sur un toit ou une terrasse, lors de beaux jours. deux (...)

Attention, coup de cœur première écoute ! Ça faisait très longtemps que ça ne m’était pas arrivé et je dois dire que ça fait du bien, énormément de bien. Et si comme moi vous êtes un peu plombé par ce sombre début d’année 2015, voilà la musique qu’il vous faut pour vous remettre du baume (...)

Un coup de cœur qui vous prend dès la première écoute. Et qui vous suit le matin, la journée, le soir. Des fois, la nuit aussi. Là, c’est signe d’accoutumance forte. Une sorte de pile qui vous recharge à répétition. Une écoute en boucle qui vous enlace sans vous étouffer. Un morceau (...)

L’étape du deuxième album est toujours délicate, à plus forte raison lorsqu’il succède à un premier album à l’identité forte et assumée. Le risque de déception est grand : et si l’on ne retrouvait pas ce qui nous avait tant parlé dans le précédent ? Ou si on l’y retrouvait trop, avec la (...)

Le cas She keeps bees est pour moi un mystère. Voilà un groupe qui fait de la musique depuis longtemps, a déjà sorti plusieurs disques, est totalement dans un style musical que j’affectionne et je ne le découvre qu’en 2014. Avouez qu’il y a de quoi devenir parano. Qui me l’a caché tout ce temps ?

Le retour. Une sorte de de réapparition inespérée. Reprendre là où tout s’était arrêté, comme si de rien n’était. La dernière fois, c’était en 2006. Une sortie discrète, sans bruit, sans fureur. Une sorte de mise en léthargie sans promesse de réveil mais sans aigreur. Et puis les liens se (...)