Sufjan Stevens n’est plus un folker à banjo et guitare, c’est une sorte de chimère venue du futur, une luciole fluorescente qui brille dans le noir aux couleurs de l’arc-en-ciel et qui par moment se transforme en aigle, cygne, dragon ou robot... c’est une créature complètement électropop qui ne montre son côté humain — simple et calme — que très furtivement et dans le but unique de rappeler d’où il vient.
ah oui, impressionnant, pas vraiment l’image que j’avais du chanteur de Chicago